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2 juillet 2012 1 02 /07 /juillet /2012 19:09

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Une fabrique de colle découverte sur le tracé du canal Seine-Nord

Courrier picard du 2 juin 2012

 

 

Il a fallu un peu de temps pour trouver ce qui se cachait sous plusieurs mètres carrés d'os de boeuf nettement brisés et retrouvés à Béthencourt-sur-Somme près de Nesles.... Lire la suite

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25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 18:14

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Courrier picard du 24 juin 2012

 

L'histoire dans une version très terre à terre

 

Les journées de l'archéologie représentent l'une des rares occasions de se familiariser avec le site privé de Glory Hole à la Boisselle. En avant première c'était les enfants....

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journaux012-copie-1Courrier picard du 24 juin 2012

 

Encore une journée pour découvrir les trésors enfouis

 

Aujourd'hui se terminent les journées nationales de l'archéologie. Amiens Métropole y participe et ouvre plusieurs sites de fouilles au public.

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journaux012-copie-1Courrier picard lundi 25 juin 2012

 

Des squelettes à la citadelle

 

Des fouilles sont menées depuis octobre à la citadelle. Les premières découvertes ont été dévoilées ce week end lors des journées nationales de l'archéologie.

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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 15:40

journaux012

 

 

Samedi 23 Juin 2012

La Courrier Picard

LA BOISSELLE L'Histoire version terre à terre

 

 

Capture.JPGla-bss.JPGSi les enfants ont porté les casques jaunes, hier, c'était plutôt pour la frime. En revanche, ce week-end, les adultes auront l'obligation de les visser sur leur tête car ils auront le privilège de descendre dans les tranchées souterraines, pour de vrai!

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Journées de l'archéologie représentent l'une des rares occasions de se familiariser avec le site privé Glory Hole, à La Boisselle. En avant-première, c'étaient les enfants.

À La Boisselle, l'Histoire n'est pas terminée. Peu à peu, elle se précise et les trouvailles sont autant d'indices, qui peuvent être replacés dans leur contexte à la lumière des carnets remplis par les soldats de la Grande Guerre.

Hier, ce sont des collégiens et des élèves de primaire qui ont fait connaissance avec ce site privé, guidés par des bénévoles de La Boisselle study group et de The Somme remembrance association. Et des vocations sont nées!

Les bénévoles se sont attachés à se mettre à la portée des enfants, à travers quatre ateliers. «J'ai l'impression que je suis à la mer, là!», sourit une jeune fille, les mains dans le sable.

Dans ce bac, les enfants jouent de la truelle et de la pelle pour mettre au jour - «sans déplacer!» insiste l'animatrice - des objets. En d'autres mots, ils endossent le costume d'archéologue.

«Ça serait bien que ce type de rendez-vous soit la vocation du site, lâche Nicolas Corselle, président de The Somme remembrance association, l'une des chevilles ouvrières de l'événement. De toute façon, le bac est scellé, ça va rester!»

 

«C'est comme dans les films !»

Pour la deuxième étape, rendez-vous à l'abri du vent, dans un petit préfabriqué en bois, où quatre objets sont exposés tels des trésors. «Quel est cet objet», interroge le bénévole.

Les enfants réfléchissent et finalement, mis sur la piste, ils identifient la lanterne avec sa bougie. «Whaou, c'est comme dans les films», s'enthousiasme une fillette. «Comme dans Raiponce», précise une autre.

Après une présentation générale du site - où les fouilles sont surtout financées par des privés, dont la BBC - avec un second étudiant en archéologie, fidèle du lieu, les enfants prennent l'air au bord des trous de mines.

Du haut, les murs de la ferme se dessinent. «Là, c'était l'écurie», réussit même à préciser le jeune homme. La marche continue. Dans les rangs, toujours le même émerveillement, même si quelques petits se verraient bien faire du motocross dans les trous! Les questions fusent chez les CM1-CM2 de l'école Langevin, d'Albert.

Quand on s'approche des casques de chantier, les cœurs s'emballent. «On va aller dans les tranchées», interroge un bambin, tout sourire. Pour raison de sécurité, les écoliers ne pourront pas explorer les tranchées souterraines. Mais aujourd'hui et demain, c'est possible!

AUDE COLLINA

  • Visites du site Glory Hole de La Boisselle, assurées par plusieurs bénévoles, aujourd'hui et demain, de 10 à 12heures et de 14heures à 17h30. Gratuit.

 

journaux012

 

 

 

Courrier Picard

Samedi 23 juin 2012

 

Amiens, l'archéologie se dévoile

 

Aujourd'hui et demain se tiennent les Journées nationales de l'archéologie. Amiens Métropole y participe et ouvre plusieurs sites de fouilles au public.


Capture.JPGjournees-arkeo.JPGDeux journées pour découvrir le monde de l'archéologie. Tel est l'objectif de la 3e édition des Journées nationales de l'archéologie. Une manifestation à laquelle Amiens Métropole, au travers de son service d'archéologie préventive, va participer aujourd'hui et demain dimanche.

À cette occasion, plusieurs sites de fouilles actuellement en cours, à Amiens et Glisy, seront accessibles gratuitement au public.

Sur place, des archéologues, des conservateurs et des guides-conférenciers dévoileront toutes les facettes du monde de l'archéologie : techniques de fouilles, chantiers en cours et présentation des collections.

 

1 SUR LE CHANTIER DE LA CITADELLE D'AMIENS (photo)

Voici l'un des sites phares de ces Journées. Et pour cause. Dans le cadre du projet de réaménagement de la citadelle, le service d'archéologie préventive d'Amiens métropole mène, depuis octobre 2011, une vaste opération de fouilles. Samedi, de 9 à 18 heures et dimanche, de 9 à 17 heures, les membres de l'équipe présenteront leurs travaux.

«C'est l'occasion pour le public de découvrir le site et les fouilles en cours, explique Josabeth Millerieux, responsable du service. Car lorsque le chantier de réaménagement aura commencé, il y aura beaucoup moins de possibilités de visiter la citadelle. »

Au programme de la visite de 2 heures, le fruit des derniers mois de fouilles : les fortifications et le système de voiries de la ville (époque médiévale et Renaissance), un faubourg romain du Ier siècle ou encore une ancienne nécropole avec des restes de sépultures.

À noter que la maison du projet, qui retrace (entre autres) l'histoire de la citadelle depuis 2000 ans, sera également en accès libre de 9 à 18 heures. Rendez-vous Boulevard des Fusillés.

2 AU JARDIN ARCHÉOLOGIQUE DE SAINT-ACHEUL

Samedi et dimanche, de 14 à 16 heures, des visites-conférences du site seront organisées au Jardin, situé au 10, rue Raymond Gourdain. Pour les plus jeunes (6-12ans), des ateliers baptisés «On passe à la fouille » leur permettront de découvrir les méthodes des professionnels, de façon plus ludique.

3 AUX FOUILLES DE GLISY

Une exposition sur les 3 000 ans d'occupation humaine, à Glisy (11, rue du Vert Bout), sera visible aujourd'hui, à 11 heures.

4 AU MUSÉE DE PICARDIE

Au 48, rue de la République, place aux conférences de Noël Mahéo, conservateur en charge des collections archéologiques. À 14 h 30, le spécialiste évoquera l'histoire de la villa gallo-romaine de Salouël, au travers de nombreux documents, maquettes, reconstitutions et vidéo. Il fera également le point sur un phénomène mis à l'honneur par Roger Agache grâce à ses survols aériens : les villas gallo-romaines de la région d'Amiens.

Également au menu, aujourd'hui, à 17 heures, et demain, à 17 h 30, les fresques de la villa Boscoreale. Les peintures murales de la villa d'un certain P. Fannius Synistor à Boscoreale, découpées et détachées, ont été vendues et dispersées dans une dizaine de musées ; deux ont été restaurées et sont à découvrir au musée.

Enfin, dimanche, à 16 heures, le public découvrir les collections mérovingiennes et le christianisme. Un ensemble exceptionnel d'épitaphes de fidèles témoigne de la solide implantation du christianisme à Amiens dès le Ve siècle.

Un programme riche et qui ne manquera pas de satisfaire les amoureux d'histoire locale.

ALEXANDRA MAUVIEL

  

 


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20 juin 2012 3 20 /06 /juin /2012 19:04

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Noyelles-Sur-Mer. Diagnostic sur 1,9 ha préalablement à l'extension d'un lotissement

(A. Gapenne, Inrap, 2012).

 

*Les indices d'un probable habitat du Bronze Final sont constitués par deux fosses dont l'une a livré, outre des artefacts lithiques et une vingtaine de vases, un outil en os en forme de spatule et de la faune.

 

noyelle.JPGFosse du Bronze Final. Cl. Inrap

 

*Une occupation centrée sur le milieu du IIIe est caractérisée par un chemin d’accès de 4 m de large avec fossés bordiers, des bâtiments sur poteaux dont certains avec calage, une probable fosse d'extraction de craie, quelques fosses dépotoirs et des niveaux d’épandage. Des tuiles, de la faune, près de 250 tessons et un fragment de meule ou de peson chauffé ont été recueillis.

 

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Grande fosse gallo-romaine. Cl. Inrap

 

L'intérêt des vestiges antiques mis au jour est leur situation en périphérie nord d'une occupation gallo-romaine signalée par de nombreuses découvertes réalisées au XIXe siècle.

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19 juin 2012 2 19 /06 /juin /2012 18:17

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Le coffre aux trésors du canal

Courrier picard du 12/06/12

 

Dans un lieu tenu secret, l'Institut national de recherches archéologiques préventives stocke ses trouvailles du canal Seine-Nord. Certaines sont inestimables.

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Capture.JPGcanal.JPG

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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 18:09

 

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Molliens-Dreuil. Diagnostic sur 3 ha, préalablement à l’aménagement d'un lotissement

(J.-F. Vacossin, Inrap, 2012).

 

Ce diagnostic se situe à l'emplacement d'un supposé enclos carré détecté en 1985 par R. Agache. Le site est localisé en bas de versant. Une ferme indigène de la Tène finale, qui s'étend n dehors de la parcelle diagnostiquée vers le nord et l'est, couvre près de 2 ha. Elle est enclose par un fossé principal large de 1,20 m et profond de 0,80 m. De nombreuses structures ont été relevées à l'intérieur de l'enceinte : trous de poteau, silo, un ou deux puits et fosses.

 

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Le silo. Cl.Inrap

 

La présence d'éléments de paroi vitrifiée et d'un probable fragment de hand-brick (?) pourraient témoigner d'une activité saunière. Deux vases de stockage complets ont été découverts en position primaire. Trois fosses ont livré des restes humains ((boite crânienne, scapula et tibia).

 

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Vase en place. Cl.Inrap.

 

La partie orientale du site est plus difficile à appréhender, perturbé par un vallon ou un chemin excavé comblé orienté nord-sud et large de 25 m. Quelques rares tessons recueillis à l'emplacement de celui-ci témoignent d'une occupation se prolongeant entre la fin du Ier siècle et le début du IIe siècle apr. J.-C. Un anneau passe-guide y a également été recueilli.

 

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vallon ou chemin excavé.Cl.Inrap.

 

Source : T. Benredjebn Carte archéologique de la Gaule -Somme, à paraître.

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12 juin 2012 2 12 /06 /juin /2012 18:56

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Amiens. Fouille archéologique sur 1200m² préalablement à l'aménagement d’un projet immobilier

(Vincent Lascour, Inrap, 2009)

 

La partie fouillée est localisée au sud-est de la Citadelle, à l’emplacement du bastion Saint-Paul. Un diagnostic, réalisé par Annick Thuet (Inrap, 2008), avait permis de confirmer la présence du mur du bastion;, l'existence de vestiges médiévaux et modernes bien préservés sur environ 300 m² à l'intérieur du bastion et des occupations antérieures, notamment des carrières d'extraction de craie. La fouille, qui a fait l'objet d'un rapport détaillé remis en juin 2012, a précisé ces différentes phases d'occupation.

 

Capture.JPGcitadelle.JPG

Vue aérienne de la Citadelle (cl. Inrap)

 

*La première occupation du site est attestée sous la forme de carrières d’exploitation de craie qui se sont développées sous formes de galeries creusées à partir d'un front de taille naturel aménagé par le creusement du lit de la Somme.

 

Capture.JPGcarriere.JPGVue de la partie nord de la carrière. Cl. Inrap

 

*Au cours du Bas-Empire, la carrière, définitivement abandonnée, laisse place à un espace funéraire d'environ 100 m² comprenant au moins sept sépultures orientées est/ouest (seule l'une des sépultures avait la tête à l'ouest). Elles appartiennent à cinq adultes, un adolescent (entre 16 et 19 ans) et un bébé (entre un mois et demi et trois mois). Les ossements ont fait l'objet d'une étude paléopathologique qui a révélé le mauvais état de santé de la plupart des individus, si ce n’est de tous (nombreuses lésions squelettiques résultant probablement de maladies infectieuses, polyarthropathie érosive affectant l’un des inhumés, état bucco-dentaire déplorable de trois inhumés) . Une tombe a livré une cruche à bec verseur en verre et une autre un dépôt de 20 monnaies enfoui vers 340 apr. J.-C.

 

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Inhumation. Cl. Inrap

 

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Verrerie. Cl. Inrap

 

*A l’époque carolingienne (VIII-IXe siècle), le secteur est réoccupé par un établissement agro-pastoral matérialisé par un fossé, des trous de poteaux, des latrines, des silos et des fosses.

 

Capture.JPGmero.JPG

Les vestiges carolingiens. Cl. Inrap

 

*Après une nouvelle période d'abandon marquée par un exhaussement du sol avec des remblais provenant de curages d’une zone humide (fossés de rempart ?), une maison très cossue (peut-être une auberge ?) est bâtie au XVe siècle. Elle se situe en partie hors de l’emprise fouillée. A l’ouest, un petit bâtiment d’habitation en pierre doté d'un puits est séparé de cette maison par une cour abritée.

 

Capture.JPGmaison.JPG

Les fondations de la maison. Cl. Inrap

 

*Au XVIe siècle, le quartier semble fortement réaménagé. L'auberge supposée est abandonnée et son espace remblayé. Le petit bâtiment d’habitation ainsi que sa cour subissent aussi des modifications. Un autre bâtiment y est accolé au nord, séparé par une sorte de palier, une « glacière » est creusée à l’ouest.

 

*En 1587, la construction de la citadelle d’Amiens sous Henri IV, fossilise ce quartier à l’intérieur du bastion Saint-Paul. Il apparaît sous la forme de deux murs de 5,50m de large se rejoignant en une pointe au sud-est.

 

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parement extérieur en briques du bastion. Cl. Inrap

 

*Le percement de l’avenue Charles de Gaulle a, dans les années 1960, détruit ce bastion et quelque peu nivelé la partie supérieure des derniers bâtiments immédiatement antérieurs à la construction de la citadelle.

 

Source : rapport de fouilles.

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 19:01

 

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Amiens. Diagnostic sur 7200 m²., préalablement à la construction d’une chaufferie

(Th. Ducrocq, Inrap, 2012).

 

Localisé sur le plateau, ce diagnostic a permis de localiser quelques rares vestiges.

*Un gobelet en céramique isolé qui,, sans certitude, pourrait êttre daté de la fin du Néolithique ou du Chalcolithique, a été mis au jour.

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Le vase. Cl Inrap

 

*Six trous de poteaux, sans organisation appatrente, ont livré quelques tessons de céramiques non tournées qui pourraient témoigner d'une occupation du début du Premier Âge du Fer.

Capture.JPGtrou.JPG

Un trou de poteau. Cl Inrap

 

Source : rapport de diagnostic.

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 17:34

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Les fouilles de Demuin

Courrier Picard du 27 mai 2012

Le chantier de fouilles s'achève

 

Le service d'archéologie préventive de l'Université de Picardie Jules Verne termine ses fouilles entreprises sur le site du château médiéval.

 

Capture.JPGdem-copie-1.JPG

Pour lire l'article cliquez ici

Attention!

Cet article contient une inexactitude qu'il convient de corriger :

Concernant le mobilier issu des opérations d’archéologie préventive justement, le Code du patrimoine prévoit un certain nombre de procédures destinées à encadrer sa gestion et sa conservation et dont le contrôle est confié à l’État. En voici un petit résumé :

  • Après la phase terrain des opérations, le mobilier est d’abord confié à l’opérateur le temps nécessaire à son étude et à la rédaction du rapport. Ce délai ne peut excéder deux ans (article L523-12).
  • Le mobilier doit ensuite être remis au SRA en même temps que le rapport et les archives de fouille, afin que celui-ci procède à son attribution définitive : l’article 523-14 du Code du patrimoine stipule en effet que, dans le cadre de l’archéologie préventive, la propriété du mobilier archéologique est partagée à parts égales entre l’État et le propriétaire du terrain sur lequel a été réalisée l’opération.
  • Le SRA transmet donc au propriétaire un exemplaire du rapport, comportant l’inventaire du mobilier soumis au partage, et l’informe de la possibilité d’exercer son droit de propriété sur un lot d’objet dont la valeur correspond à la moitié de la valeur totale des objets inventoriés.
  • Le propriétaire dispose alors d’un délai d’un an après réception du rapport pour faire valoir son droit de propriété sur une partie des objets. Partant, 2 cas de figure peuvent se présenter :
  • le propriétaire répond qu’il n’est pas intéressé, ou bien ne répond pas. Au terme du délai d’un an, la propriété du mobilier est donc transférée à l’État à titre gratuit.
  • le propriétaire souhaite exercer son droit de propriété. Dans ce cas, le mobilier est divisé en deux lots de valeur égale (ou du moins aussi proche que possible) et le partage est effectué à l’amiable ou par tirage au sort.

NB : l’État a la possibilité d’exercer un droit de revendication, moyennant indemnité financière, sur tout ou partie du mobilier soumis au partage.

  • L’État peut transférer la propriété du mobilier lui revenant à l’issue du partage à la commune sur laquelle les objets ont été découverts si celle-ci en fait la demande et s’engage à en assurer la bonne conservation : ces objets pourront ainsi prendre place dans un musée ou un centre d’interprétation. Actuellement, le SRA Alsace a engagé une telle démarche au profit de la ville de Strasbourg, qui pourra valoriser les objets découverts sur son territoire en les exposant au musée archéologique et au musée historique de la ville.

À défaut, un dépôt peut également être envisagé pour tout ou partie du mobilier d’une opération (cf. infra, conservation du mobilier).

Les objets non transformés par l’homme, notamment les ossements humains et animaux, ne relèvent pas du mobilier archéologique. Par conséquent, ils ne sont pas soumis au régime de propriété prévu par l’article L523-14 et relèvent de la seule propriété de l’État.

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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 10:40

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Courrier Picard du 1er juin 2012

 

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St Acheul

Des logements vont être construits par la SIP au chemin Noir, là où 90 tombes du Vè siècle ont été découvertes

 

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  • : Diffusion au grand public des résultats de la recherche archéologique, projections de documentaires, conférences, visites de sites et d'expositions, festival du film d'archéologie d'Amiens.
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